Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Ne nous racontez pas d’histoire, c’est la guerre et elle n’a rien à voir avec la démocratie…

Zelensky est photographié en train de porter un coupe-vent avec un insigne nazi, durant une cérémonie officielle à Izyum, après la reprise de cette ville par les forces ukrainiennes; plusieurs de ses gardes du corps le portaient aussi. Voici un article publié par le parti communiste du Canada qui fait la démonstration de ce que ne craignent pas d’arborer ceux dont nous faisons les héros de la démocratie et au nom desquels nos gouvernants sont prêts sur ordre des Etats-Unis à nous envoyer en guerre pour simplement prétendre être les maitres de la planète: USA über alles !!! ( des preuves non niables) (note et traduction de Danielle Bleitrach pour histoire et société)

La plupart des grands médias occidentaux ont considérablement minimisé la présence de forces néonazies dans les rangs de l’armée ukrainienne, tout cela pour la rendre plus “honorable” aux yeux de larges sections de l’opinion publique internationale et pour plus facilement faire aussi passer les dizaines de milliards de dollars d’aide militaire envoyés à Kiev et qui se poursuivent toujours. Même devant l’évidence, ils préféraient fermer les yeux. Sauf que cette fois-ci, vouloir encore fermer les yeux relèverait de l’indécence crasse.

Ci-joint des photos récemment prises et montrant le président Zelensky portant lui-même un coupe-vent qui arborait, sur sa manche à droite, un signe nazi très distinctif, soit la tête de mort que portait tous les membres des SS, durant la Seconde Guerre Mondiale, notamment ceux qui assuraient la garde des camps de la mort. Et cette fois, aucune erreur ne serait possible, puisque ces photos viendraient en fait du compte Instagram du président Zelensky lui-même. Toujours sur ces photos, plusieurs de ces gardes du corps portaient aussi le même insigne. Plus de détails ci-joint.

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Toutes ces photos, que nous reproduisons à notre tour plus bas, de manière à ce qu’il ne puisse y avoir de confusion possible — nous reproduisons aussi, à cette fin, une capture d’écran du compte Instagram du président, tel qu’il était encore accessible encore le lendemain de la prise des photos, soit le 15 septembre –, furent prises et mises ensuite en ligne le 14 septembre, alors que Zelensky participait à une série de cérémonies censées marquées la reprise récente, par l’armée ukrainienne, de la ville d’Izyum, située à l’Ouest de la République Populaire de Lougansk, et qu’il ” serrait” également la main de quelques personnes, tout cela pour faire aussi une série de séances photos qui pourraient ensuite être largement diffusées.

Personne ne pourra donc en même temps dire que ces photos seraient en fait le résultat d’une propagande issue des services secrets russes, ou quelque chose du même genre.

Ces photos firent effectivement le tour du monde dans les heures qui suivirent, mais presque personne ne se sera en même temps soucié vraiment, semble-t-il, de ce fameux insigne, bien qu’on pouvait assez clairement le voir sur de nombreuses photos. À croire qu’il y en a qui devraient faire ajuster leurs lunettes ou les changer carrément, parce qu’autrement, il faudra conclure qu’ils seraient carrément de mauvaise foi dans leur propre jugement.

Il serait certainement intéressant de savoir les raisons qui poussèrent finalement autant Radio-Canada que le réseau TVA à reproduire le soir même ces images, sans en même temps jamais faire, bien évidemment, référence à la présence de ces insignes, et tout en s’arrangeant aussi pour que ceux-ci ne soient en même temps jamais mis en évidence aussi.

Nous, pour notre part, pensions important de ne rien cacher. Voici donc ces fameuses photos. On se rappellera en même temps, toujours en lien avec la tenue de ces mêmes cérémonies, qui se voulaient protocolaires — Zelensky passa notamment un certain à remettre des médailles à un certain nombre de soldats –, que les forces russes avaient de leur propre chef évacué toute la région autour d’Izyum, bien avant que l’armée ukrainienne n’y fasse finalement son entrée à nouveau. Enfin …

À noter : un peu plus de 48 heures plus tard, après leur mise en ligne, soit plus tôt ce matin, le 17 septembre, les photos incriminantes étaient finalement retirées du compte Instagram du président Zelensky. Ni vues, ni connues; heureusement, en même temps que certains médias, incluant nous-mêmes, auront, pendant ce temps, au moins noté leur mise en ligne initiale, ainsi que sauvegardé le tout.

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Sur la première de ces photos, l’insigne SS est peut-être un peu plus difficile à discerner, parce que nous avons en même temps dû agrandir cette photo …

… mais sur la photo subséquente, l’insigne SS est à nouveau assez clairement visible sur le bras droit de Zelensky, pendant qu’il parlait à cette femme :

Sur la prochaine photo, regardez le soldat, se tenant en arrière de Zelensky, sur sa droite; lui aussi a la même tête de mort; l’insigne est, cette fois, sur le devant de son uniforme, au niveau de sa poitrine :

Sur cette dernière photo, le même insigne apparaît cette fois dans le dos de cet autre soldat, derrière Zelensky toujours; en fait, cet insigne ferait alors partie de la veste pare-balle du soldat.

Tel que promis, voici également reproduit ci-bas une capture d’écran du fameux ” posting mis en ligne le 14 septembre sur le compte Instagram du président Zelensky et où plusieurs des photos plus haut étaient pour la première fois reproduites; les autres font partie d’un autre ” posting, mis en ligne tout de suite après :

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Cet insigne SS que portait Zelensky, ce jour-là, de même que plusieurs de ses propres gardes du corps, est une tête de mort et tous les soldats SS, chargés de garder les différents camps de la mort, durant la Seconde Guerre Mondiale, le portait fièrement sur leur casquette militaire. On appelle cet insigne le “Totenkopf “.

Toujours durant la Seconde Guerre Mondiale, les SS avaient également une division de panzers, surnommée les “Totenkopf ” et les membres de cette division portaient tout autant cette tête de mort sur leur uniforme.

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3 Commentaires

  • Daniel Arias
    Daniel Arias

    Pendant que le clown se pavane avec sa garde nazi les soldats n’apprécie guère la qualité du camping sur le front, il faudra trouver un régiment d’hommes grenouilles.

    https://youtu.be/wLqpAXG0l5Q

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  • Annwn

    « Ne nous racontez pas d’histoire, c’est la guerre et elle n’a rien à voir avec la démocratie »
    Au contraire ! La démocratie c’est le nombre. Or, le nombre ne donne jamais le « Droit » parce qu’il ne donne jamais la juste compréhension des choses. Le nombre est, au contraire, la négation du Droit ; c’est une représentation de la Force.
    Jean Robin (l’écrivain), dans son ouvrage « Le Royaume du Graal» dit ceci : Qu’est-ce exactement que cette loi du plus grand nombre qu’invoquent les gouvernants modernes et dont ils prétendent tirer leur seule justification ? C’est tout simplement la loi de la matière et de la force brutale, la loi même en vertu de laquelle une masse entraînée par son poids écrase tout ce qui se rencontre sur son passage ; c’est là que se trouve précisément le point de jonction entre la conception « démocratique » et le « matérialisme ». C’est le renversement complet de l’ordre normal. Dans le monde spirituel, et plus simplement encore dans l’ordre Universel, c’est l’Unité qui est au sommet de la hiérarchie, car c’est Elle qui est le Principe dont sort toute multiplicité.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

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    • Daniel Arias
      Daniel Arias

      Les Mathématiques sont politiques !
      Le nombre dans la démocratie.

      Dès les revendications populaires de la démocratie les bourgeois et les aristocrates ont pris peur et vite compris que la dictature des masses était à éviter.
      De là sont nés les droits de l’Homme, et non des hommes, un concept garantissant la liberté d’un individu, le propriétaire, noyé dans un discours idéaliste et généraliste.

      Pour Guizot la démocratie était une passion qui envahissait dangereusement le peuple en son entier quand hier elle n’était vivante que dans l’esprit de quelque intellectuel de la bonne société. Tant que la philosophie décrit le monde sans le transformer, Guizot tout comme le Tsar ne trouvait rien à redire, discourez dans les salons autant qu’il vous plaît tant que vous ne prenez pas les armes.

      Pour Jhon Stuart Mill, penseur du libéralisme et démocrate, la peur le saisissait à l’idée que le grand nombre n’empêche les talents de s’épanouir, nos premiers de cordée, nos premiers de classe, nos méritants. Qui oserait contre dire le talent et le mérite ?

      Ces craintes et interrogations ne s’expriment pas uniquement à droite ; les révolutionnaires aussi tout en reconnaissant le rôle nécessaire des masses défendent une avant garde capable d’éclairer et organiser les luttes. Factuellement cette avant garde est nécessaire, il faut des Marx, Lénine, Castro et Thorez, mais ce n’est pas suffisant chaque élément de la population doit tendre vers cette conscience développée pour garantir la solidité de l’ensemble. L’effondrement du communisme en Europe est une conséquence de cette faible consolidation et implication populaire.

      Cette dialectique masses et partie et même Parti reste une réalité qui s’exprime d’ailleurs dans le suffrage universel où à chaque fois la minorité gagne.

      D’un point de vue un peu plus mathématique l’élection multi partite à deux tour permet à un candidat minoritaire au premier tour de diriger l’ensemble.
      Nous sommes très loin de la dictature des masses féroces.

      Quand un Parti communiste soucieux du bien de tous les travailleurs, donc de la majorité se présente il est concurrencé par une foule de partis de gauche à commencer par les sociaux démocrates puis pour les plus “radicaux” une extrême gauche dans la parole publique avec autant de variations qui suivent l’orchestre médiatique: pseudos écologistes, pseudos féministes, pseudo gay friendly, moutons friendly too,… Bref une imagination sans fin.

      Cette opinion formée par une minorité intellectuelle en partie dans les universités et dans les grandes écoles mais aussi dans des institutions impérialistes est dominée par les classes supérieures.

      Dans les mass média la quasi totalité des moyens de communications sont dans les mains de la bourgeoisie et de son appareil d’État.

      Dans la culture grand public que les cow boys appellent avec raison, entertainement, divertissement, encore un terme militaire, elle est dominée par les grands capitaux, jusqu’à mettre en scène la misère, comme dans les exploits des stars du foot ou comme le boxeur Rocky s’arrachant par leur mérite à la fatalité capitaliste. Travaille fainéant !

      Mais tout ceci n’est pas suffisant les institutions dès la naissance de la République française ont vite combattu la démocratie en instaurant le vote censitaire des mâles nationaux, puis péniblement ont octroyé le droit de vote à la moitié de la population, les femmes, dont rapidement les effectifs vont se diviser dans la lutte des classes ordinaire entre exploiteuses et exploités.

      Une fois le suffrage universel instauré il est aussitôt attaqué.

      Nos communes base de la République française sont anéantie par les communautés de communes élus entre caciques, tout comme se forment les alliances politiques dans l’entre-soi.

      Notre État Républicain recouvert sous le drapeau de l’UE contraint la volonté et l’opinion populaire.

      L’économie dirigée par un cartel des banques international vole nos services publics contre l’avis du grand nombre.
      Qui veut moins de profs, d’infirmières, de médecins, de postiers, de chauffeurs de trains ?

      Et quand tous ces artifices ne suffisent plus la démocratie factice cède au fascisme.

      La gauche est discrédité dans tous les média, un peu la droite aussi, et vient le tous pourris, la porte ouverte à ceux qui prônent l’Ordre et la lutte contre la corruption, de nouveaux chiens issus du même chenil.

      La réponse à la frousse que les pauvres gilets Jaunes ont collé au premier ministre a été sanglante et d’une violence oubliée en France.
      Cette fois ont ne cassait pas que les beurs de banlieue. Prélude à l’armement des chiens du capital, dans un silence assourdissant sur la destination des armes perdues dans les réseaux ukrainiens, ou peut être ceux des restes du système américain Stay Behind.

      Non l’élection de nos présidents ne sont pas la lois du nombre, mais bien celle d’une construction symbolique la démocratie libérale, qui assure la dictature du grand capital sur les masses exploitées.

      Non les masses n’ont pas reçu l’éducation nécessaire pour se défendre et n’ont pas droit à l’expression ni même à leur représentation.
      Masses niées politiquement et culturellement, juste bonnes à produire et se reproduire, prolétaires.

      D’où le grand danger que représente les communistes quand ils quittent le Colonel Fabien pour aller dans les entreprises et dans les quartiers.
      C’est là qu’ils sont le plus dangereux démontrant la force du peuple et sa puissance monstrueuse contenue dans le grand nombre des exploités.
      Armant l’ouvrier et le paysan, lui donnant confiance dans sa propre libération et sa capacité à conduire ses affaires.

      Guizot avait raison l’idée de démocratie est une passion qui désormais se répand sans freins.

      La loi du nombre quand “la vie est à nous” prélude à la Révolution:

      https://parcours.cinearchives.org/les-films-vie-est-a-nous-la-565-16-0-1.html?

      Répondre

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